Mission burn-out #2
Où je suis le lapin d'Alice et la reine qui se coupe la tête
Egun on,
Je vous remercie encore pour vos retours à la newsletter de la semaine dernière sur mon grand-père. J’ai été très touchée. Si vous ne l’avez pas lue, elle est encore disponible. Elle sera d’ailleurs publié dans le courrier de l’amicale des basques de Pau. Consécration ou népotisme1 ?
Cette semaine, j’ai fait un sommaire pour me donner l’illusion de contrôler cette newsletter à défaut de contrôler le temps qui me file entre les doigts, pour des projets très réjouissants, professionnels comme personnels, mais aussi réjouissants soient-ils, encore faut-il être en bon état pour les mener à bien. A l’heure où je vous écris, je suis surtout en état de nuire à la langue française (warning coquilles).
Pour toustes les abonné·e·s
Un point astro : Un signe, une Sigrid Nunez
Le non book club d’avril
Pour les abonné·e·s payant·e·s
Le flux de conscience des livres de ce mois-ci écrit tellement vite qu’il sera rempli de lapsus révélateurs
1. Un signe, une Sigrid Nunez
Ce mois-ci, j’ai fini de lire les romans de Sigrid Nunez. Ainsi commence mon voyage en Sigriderie, car maintenant, mon but est de lui faire un câdelin2 (virtuellement). Pour fêter ce coup de foudre littéraire confirmé à chaque lecture, j’ai fait un zodiaque en Sigrid Nunez.
Vous pouvez cliquer pour lire votre signe solaire, ou trouver dans quel planète se trouve votre Sigrid car, oui, l’autrice est une planète (ou un astre ou un corps céleste) à elle toute seule. Je pense avoir Sigrid en Bélier et un peu en Capricorne…
Et vous ?
Les plus curieux·se·s auront peut-être remarqué qu’une autre de mes autrices préférées s’est glissée dans ce faux-roscope du dimanche car si j’existe, c’est d’être fan3.
2. Le non book club d’avril
En avril, j’ai fort lu. Peut-être un peu trop ? Voici le détail des livres qui ont occupé mon mois. A peu de chose près, j’étais à l’équilibre parfait : 20% d’essai, 20% de BD; 20% de romcoms, 20% de SF et c’est la littérature pas forcément classable qui a cassé mon beau camembert statistique, c’est la faute d’Henry James, ça. C’est toujours la faute d’Henry James.
Vous connaissez les règles du non book club. Le détail de ces lectures est réservé aux abonné·e·s payant·e·s. Comme dit précédemment, si vous voulez avoir accès aux lettres payantes et que vous ne pouvez pas, envoyez-moi un email. Pas besoin de vous justifier.
Attention, flux de conscience activé.
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